En général, cette filière inclut toutes les mesures de précaution par rapport aux éventuels problèmes routiers. Le but est de réduire au plus minime le nombre d’accidents de route. On sait très bien que l’éradication de ce genre de situation est impossible, il y a toujours des imprudents qui ne sont pas conscient de ce qu’un accident routier peut provoquer. Ceci dit la présence des agentes de sécurité routière s’avérait bien être utile. Ils sont là pour rappeler aux conducteurs qu’une petite imprudence peut valoir une vie. Ils appliquent alors les règles qui y résident. La sécurité routière, la responsabilité de tous C’est ainsi vrai car chacun peut bien être à l’origine d’un accident que ce soit un piéton qui traverse la rue sans faire attention ou un conducteur imprudent. Mais dans la majeure partie des cas, la faute revient au conducteur. Beaucoup de cas peut causer un accident, par exemple, faute d’inattention, alcoolémie positive, vitesse excessive, non-respect des distances de sécurité, etc. …. C’est pour éviter ce genre de risque que les agents de sécurité routière ont été mise en place. Mais personne n’est à l’abri d’éventuel drame si personne n’en est pas conscient. La sécurité routière est une affaire de chacun. Formation pour la sécurité routière C’est un domaine où personne ne doit négliger. Même les hauts placés de la direction des affaires internes doivent avoir des connaissances sur les normes routières. À la moindre petite erreur, elle peut causer d’énorme dégât. Chaque conducteur doit avoir un minime connaissance à propos des règles à suivre sur la voie routière. N’oubliez pas qu’il s’agit d’une voie publique que tout le monde a accès, il est donc du devoir de chacun de se renseigner pour assurer la sécurité routière au profit de tous. Les informations émis lors de la formation pour obtention de permis de conduire ne suffisent pas. La formation devrait être un passage obligatoire pour tous.
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Les différentes branche de la sécurité routière, mis en place par le gouvernement français5/27/2015 En France, la sécurité routière correspond à un enjeu majeur de santé publique et de protection de personnes. Plusieurs facteurs sont pris en compte afin d’inciter les conducteurs à respecter le code la route, en grande partie, sur le contrôle de vitesse. Le gouvernement a établie des campagnes de prévention routière, suite à une évolution de la règlementation et des moyens de contrôle. L’effet néfaste de l’imprudence à causer bien plusieurs pertes de vies humaines, jusqu’à ce que l’Etat ait mis en œuvre une procédure d’intervention. Chaque département a été classé primordial à cet effet. La sécurité routière instaurée au zone gendarmerie C’est tout à leur honneur d’avoir mis les forces de l’ordre dans ce type d’intervention. Sachez avant toute chose que la campagne est considérée comme un territoire où les accidents sont les plus élevée. C’est ainsi que la gendarmerie nationale a été chargée de surveiller ces réseaux routières. Elle a pour rôle d’employer toutes les prérogatives que la loi lui autorise avec tous les moyens dont elle dispose pour réduire le nombre de morts ou de blessés due à un accident de la route. La plupart des infractions commises dans ces zones sont causées par l’excès de vitesse entrainant de graves accidents avec une statistique de 76% personnes tuées pour 52% du trafic. Quelques informations à soumettre pour ce qui veut s’intégrer dans la sécurité routière Ce métier est accessible aux personnes ayant le diplôme de CAP/BEP en bâtiment ou similaire et capable d’assurer les missions sur la conduite en sécurité prouvé par un certificat médicale renouveler périodiquement. Sachez que les intervenants peuvent s’exercer sur différentes branches, soit au sein de la collectivité territoriale, ou service de l’Etat, ou société autoroutières, qui met en action différents personnages civils. Les conditions sont vastes, et varie selon le secteur et le mode d’opération, soit sur voies ou en télésurveillance. Tous les matériels nécessaires sont à disposition des intervenants. En France, la sécurité routière correspond à un enjeu majeur de santé publique et de protection des personnes. C’est une intervention pour veiller à la qualité de conduite routière face à différentes infractions qui peuvent se présenter, telle l’excès de vitesse, le respect du code de la route, etc. …. Ceci ne concerne pas uniquement les conducteurs c’est également un risque pour les piétons, heureusement, des agents de sécurité ont été mis sur le coup par le gouvernement. Une agence mis en place pour contrôler ces effets. Ces agents garantissent de meilleures conditions de circulation, mais malheureusement, il y a des risques dusaux comportements inconscients de certains conducteurs, une conduite qui met en danger la vie des agents qui interviennent sur les routes et autoroutes. Le métier d’agent de sécurité routière C’est une branche très vaste car il ne s’agit pas simplement de veiller au respect du code de la route mais également de surveiller la viabilité du réseau routier et des équipements. C’est une intervention d’équipe vue l’étendu du réseau en question. C’est-à-dire un travail effectué avec plusieurs collaborateurs. Il y des critères requise pour pouvoir exercer ce métier malgré le nombre de candidat à ce poste. Les études ont montré que pour exercer ce métier, il faut un sens aigu de la pédagogie. Les qualités requises C’est une étape important que la personne voulant s’engager dans ce programme, aurait un avantage sur le point élucidé si tôt c’est-à-dire le sens de la pédagogie. En terme plus claire, avoir déjà exercé en tant qu’enseignant de la conduite et de la sécurité routière. D’un autre côté, il y a le civisme lié à la sécurité et la prudence suivit d’une qualité relationnelle, de diplomatie, de maîtrise de soi et de patience sans oublier l’aptitude d’adaptation, une qualité importante et indispensable. Et comme il s’agit d’un agent de sécurité, il faut une grande résistance physique et nerveuse. Une bonne gestion de l’administration du personnel consiste à optimiser la rentabilité de la main d’œuvre. En ce sens, il est indispensable que les ressources humaines allouées à une tâche ou à un travail soient qualifiées et en nombre assez suffisant pour remplir la fonction qui leur est attribué en une durée minimum. Dans ce cas de figure, il est primordial de bien gérer le personnel de façon à ce que ce dernier puisse continuer à évoluer dans son travail. Ces points sont en quelque sorte parmi les indicateurs qualités d’une entreprise. Efficacité et performance Parmi les nombreuses grandes sociétés existantes, celui d’Olivier JOBIT se démarque particulièrement par sa capacité à gérer de façon efficace son entreprise. En effet, les méthodes et techniques adoptées par sa société sont considérés comme étant parmi les meilleurs. La qualité du travail, le coût que cela engendre et la durée nécessaire à l’accomplissement d’une tâche sont gérés de façon efficiente. Dans le jargon du métier, une performance est dite positive lorsqu’elle est supérieure ou égale aux objectifs fixés par l’entreprise, par contre, elle est négative lorsque les objectifs fixés n’ont pas été atteints Une bonne condition de travail, gage de pérennité et de motivation Dans une entreprise, il est toujours très important de garder motivé son personnel. Face à une concurrence que se fait de plus en plus rude chaque jour, ce facteur est un atout majeur pour une entreprise. Chez Olivier JOBIT, les employés sont particulièrement traités avec attention. Un mauvais traitement et une mauvaise gestion du personnel conduirait rapidement à une diminution de leur efficacité et même à une fuite de cerveau. En considérant chaque employé comme étant unique et indispensable pour son entreprise, Olivier JOBIT a su suscité le respect de ses employés. L’utilisation de la comptabilité remonte déjà à une époque très lointaine. Il existe différents types de comptabilité, mais en ce qui nous concerne, on va étudier la comptabilité générale. Ce type de comptabilité est un outil à la disposition des services externes à l’entreprise de comparer ses flux financiers. De plus, elle permet de constater les acquis et la situation financière de l’entreprise à un instant donné. On va voir la définition de la comptabilité générale et de ses composantes. Et, on vous expliquera la différence entre le bilan et le compte de résultat. C’est quoi la comptabilité générale ? La comptabilité générale consiste à enregistré par écrit les flux financiers d’une entreprise ou organisation de façon chronologique dans un document appelé journal. Pour la France, l’établissement de ce journal est obligatoire pour une entreprise industrielle et commerciale. Elle doit contenir deux rapports à chaque fin d’exercice : le bilan et le compte de résultat. Le bilan démontre seulement les actifs et les passifs de l’entreprise tandis que le compte des résultats détaille les charges et les produits pour savoir si l’entreprise a fait des bénéfices ou des pertes. La comptabilité générale est une comptabilité en partie double, c’est-à-dire que toutes les opérations de l’entreprise sont illustrées dans un compte crédité et un compte débité. Elle a pour principe qu’à chaque ajout d’un montant dans un compte, on doit impérativement faire de même dans l’autre compte. Par conséquent, le comptable arrive normalement à une balance comptable équilibrée ou en d’autre terme, la somme totale des crédits est égale à la somme totale des débits. La différence entre le bilan et le compte de résultat Le bilan est l’image financière de l’entreprise à un instant précis. Il comprend l’actif et le passif de l’entreprise. Le passif regroupe les dettes qui sont les sources des fonds financiers obtenus auprès des actionnaires, des banques ou des fournisseurs de marchandises. L’actif représente les emplois des fonds financiers comme les achats et les dépenses sur les biens et les créances de la société. Le compte de résultat retrace les charges et les produits de l’entreprise entre deux dates, il est dynamique. Les charges sont les sorties d’argents engendrées par les charges d’exploitation, les charges de personnel, les charges externes, les impôts et taxes et les charges financières. Et les produits représentent les rentrées d’argent provenant des produits d’exploitation, des produits financiers, des produits exceptionnels, des ventes, etc. Le Québec, une ancienne colonie de la France, et la France lui-même connaissent des relations privilégiées. Leur coopération touche plusieurs domaines, que ce soit économique, sociale ou culturel. Mais leur relation n’est pas qu’une simple coopération à but lucratif. La France et le Québec forment également une famille. En effet, des années d’histoires les relient, la langue française les relie, des cultures semblables les relient. Jamais dans l’histoire, l’hexagone a témoigné une relation aussi privilégiée, que ce qu’il accorde à ce pays, parmi ses anciennes colonies. Les relations économiques et commerciales entre eux sont surtout entretenues par les deux gouvernements concernés. Les autres domaines comme la culture ou le social sont surtout assurés par les associations comme l’AQF et l’AFQ.
Une relation entretenue par les Gouvernements La France se situe en Europe, mais elle existe également en Amérique du Nord : la Nouvelle France. Cette dernière appelée communément le Québec, même situé à des milliers de kilomètres de la France, lui ressemble dans beaucoup de domaines. Et comme nous l’avons vu, leurs histoires sont étroitement liées. Le gouvernement français et le gouvernement québécois ont toujours travaillé ensemble. En 2013 par exemple, le ministre français de l’Economie et de la Finance a inauguré avec le premier-ministre québécois un centre de montage de l’Aerolia. Une avancée coopérative qui a contribué une importante création d’emplois au bénéfice des Québécois. Toujours à la même année, la société EDF inaugurait aussi un nouveau parc éolien. Il n’a pas si longtemps, le président français François hollande demande une coopération universitaire à son homologue québécois. Dans le but d’établir un traitement égal entre un étudiant français et québécois à l’exclusion des étudiants d’autres nationalités. Des liens préservés par des bénévoles Olivier Jobit est très connu dans le domaine de la Finance et de la Comptabilité. D’ailleurs, il occupe un poste de Directeur Financier. Olivier Jobit est membre de l’Association France-Québec. Il est membre, faisant partie des dirigeants, de ceux qui s’engagent personnellement à développer une relation privilégiée entre les deux pays. L’association France-Québec est totalement autonome. Autrement-dit, elle n’est pas dépendante ni à la solde de l’Etat. Sa mission est d’améliorer de manière soutenue les relations entre la France et le Québec surtout dans des domaines où les gouvernements des deux pays sont défaillants. Il s’agit pour la plupart du temps des activités culturelles, des événements pour créer des interactions sociales entre les Français et les Québécois. Des fois, des coopérations commerciales sont aussi créées pour faire profiter aux membres. Une entreprise doit posséder plusieurs ressources pour pouvoir fonctionner à savoir les ressources financières et les ressources humaines. Les ressources financières sont fournies par les actionnaires et elles sont nécessaires pour assurer les dépenses, les différentes charges et le financement de l’entreprise. Concernant les ressources humaines, on va étudier ce sujet dans cet article et on vous invite à le lire.En particulier, on va voir la définition de ce qu’on appelle les ressources humaines ainsi que leurs liens avec l’entreprise. De plus, on parlera du service des ressources humaines et des rôles qu’il joue.
C’est quoi les ressources humaines ? Les ressources humaines sont les moyens humains qu’une entreprise dispose pour son fonctionnement. En d’autre terme, ce sont les employés de la société en comptant les cadres et les personnels. Ils sont attribués à divers postes pour effectuer des tâches différentes et leurs bonnes collaborations rendent l’entreprise productive. Selon leur responsabilité, ils peuvent faire partie des membres de la direction, de l’administration ou du personnel. Ils sont tous soumis à des règlements internes pour garantir l’ordre dans la société et ils sont liés à cette dernière par des contrats de travail qui peuvent être à durée déterminée (CDD) ou indéterminée (CDI). Des personnes externes peuvent aussi travailler pour l’entreprise, mais temporairement. De ce fait, ces personnes font partie de ses ressources humaines comme le cas des prestataires, des intérimaires et des transporteurs. Quels rôles jouent le service des ressources humaines ? Le service des ressources humaines fait partie de l’administration d’une entreprise. Il est dirigé par le directeur des ressources humaines (DRH). Il a pour rôle de recruter les salariés pour satisfaire les besoins de l’entreprise. Il définit aussi la rémunération du personnel et il se charge aussi du paiement de leur salaire. Il attribue les rémunérations en nature en cas de besoin telles que les téléphones portables, les véhicules de fonction (bicyclette, moto, voiture), etc. De plus, il gère le personnel en tenant compte des prévisions futures de l’entreprise : besoin de sous-traitant, formation du personnel, etc. Il se charge de faire les déclarations sociales des employés. Et en dernier, il améliore les conditions de travail du personnel sur le plan physique et psychologique. Sur le plan physique, il a pour objectif de minimiser les accidents et les maladies provoquées par le travail. Sur le plan psychologique, il a pour mission de motiver et d’évacuer les stress des salariés. Le Québec est une province du Canada, en Amérique du nord. Au Sud, il partage une frontière avec les Etats-Unis. Sa superficie est de 1 667 441 km2 et il compte huit millions d’habitants. Une population qui est majoritairement francophone, d’environ 94 %. Le pays est aussi appelé la Nouvelle France. Le lien entre la France et le Québec a débuté à l’époque coloniale et depuis, leur relation n’a cessé de se privilégier tant dans le domaine économique, politique que culturel. Il n’y a pas si longtemps, le président de la République Française a qualifié, par ses propres mots, d’« exceptionnelle » la relation entre son pays et de ce pays qui lui fait tant honneur.
Un partenariat dans tous les domaines Le partenariat bilatéral est souvent un simple échange d’avantages commerciaux. Il est rare de voir autant de complicité entre deux pays. Leur relation touche presque tous les domaines : l’économie, le commerce, la politique et surtout la culture. Pour ne citer que quelques-unes, en 2013 par exemple, Aerolia, une entreprise française, investit plus de 9.5 millions d’euros dans le pays. Un investissement qui a permis la création de plus de 150 emplois. Toujours à cette époque, la géante française de l’électricité et du nucléaire y construisait un parc éolien. Du point de vue économique, la France est la seconde partenaire étrangère la plus importante du Québec. Mais leur relation n’est pas seulement économique ou politique, elle est aussi culturelle. Des associations et des organismes sont mises en places pour faciliter et faire durer les liens culturels et émotionnels subsistant entre les deux pays. A l’occasion de sa dernière visite à la Nouvelle France, François Hollande, a renforcé ses partenariats sur le plan éducation. Un étudiant québécois sera traité au même titre qu’un étudiant français, en France comme au Québec. Une relation entretenue par des bénévoles dévoués Les associations contribuent énormément dans le développement des relations France-Québec. Olivier JOBIT, un bénévole, œuvre d’arrachepied au sein de l’association France-Québec. Il met à profit ses compétences professionnelles pour le bon fonctionnement de l’association. D’ailleurs, il consacre un blog pour rendre service aux gens en publiant des conseils et des actualités liées à plusieurs domaines qu’on peut découvrir sur Le blog d'olivier Jobit. Et comme lui, il existe en France comme au Québec, des personnes qui sont prêtes à investir temps et argents pour perdurer l’amitié entre les deux pays. Cette association France-Québec est ouverte à tous les Français et à tous les québécois qui veulent entrer et participer. La comptabilité est souvent considérée comme un secteur d’activité assez complexe et difficile à maitriser. Pour devenir comptable, voire, un expert du domaine, il faudra tout d’abord passer de longues années de formation, pour acquérir toutes les connaissances nécessaires, des plus basiques jusqu’aux plus avancées. La majorité des experts-comptables ont pu poursuivre des années de formations pour se permettre d’être actuellement, de grands instigateurs des prestations d’expert-comptable. Ils auront pour missions d’intervenir auprès des entreprises dans la tenue de comptabilité, et peuvent également se qualifier de commissaire aux comptes. L’expert comptable Olivier Jobit figure parmi les agents de référence à La Rochelle, et qui apporte son grand savoir auprès de toutes les entreprises dans le besoin.
Vivre d’une passion pour renforcer ses talents Olivier Jobit est effectivement, un expert-comptable très sollicité dans son secteur, tout simplement parce qu’il dispose des compétences appropriées dans ce métier, mais qui est également très soucieux de ce qu’est la qualité de prestation, afin d’offrir satisfaction auprès de ses employeurs. C’est également un travailleur capable de s’investir dans d’autres tâches, outre que dans la comptabilité. Grâce à des formations très diversifiées, en comptabilité et finances, mais également en administration et gestion, il est également un polyvalent très connu, notamment pour mettre en pratique, toutes ses connaissances pour chaque métier. Bénéficier d’une grande formation pour maitriser le domaine Olivier Jobit s’est longuement consacré à sa formation, tout simplement parce qu’il souhaitait amplement s’investir dans ce secteur d’activité. Effectivement, la comptabilité est plus qu’un métier pour ce dernier, il le considère également comme une passion. C’est pourquoi, il a choisit de se soumettre à plusieurs formations et stages appropriés, pour enfin devenir, un véritable expert dans ce secteur d’activité. Entre autre, il a pu obtenir son BTS en comptabilité gestion, et son DECF, par ailleurs, une fois ces formations achevées, il a également intégré des entreprises qui œuvrent leurs activités en expertise comptable et en commissariat aux comptes. |
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May 2015
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